Recherche en endocrinologie et diabète

Glycémie à jeun, indice de masse corporelle et tour de taille chez les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde

Maryam Masoumi, Reihane Tabaraii, Mohaddeseh Farhadi, Sayyed Ali Moosavi, Sayyed Ali Moosavi, Cailan Feingold et Abbas Smiley

Contexte : L’objectif était d’évaluer les schémas de glycémie à jeun (FBG), d’indice de masse corporelle (IMC) et de tour de taille (TT) dans la polyarthrite rhumatoïde (PR).

Méthodes : Il s'agit d'une étude transversale réalisée sur 142 patients atteints de PR. Les données démographiques, les caractéristiques de la maladie, les facteurs liés au mode de vie, la glycémie à jeun, l'IMC et le tour de taille ont été recueillis. Une méthode d'échantillonnage pratique a été utilisée. Un modèle de régression linéaire multivariable et un modèle additif généralisé multivariable (GAM) ont été construits après l'application de l'élimination rétrograde pour explorer la relation entre la glycémie à jeun/l'IMC/le tour de taille et les facteurs de risque. Les fonctions lisses prédites et les intervalles de confiance à 95 % ont été tracés dans des modèles GAM multivariables. La valeur P < 0,05 était significative. Toutes les analyses ont été effectuées à l'aide du logiciel statistique R.

Résultats : 82 % des patients étaient des femmes. L'âge moyen (ET) était de 52 (13) ans. La prévalence de la glycémie à jeun prédiabétique et de la glycémie à jeun diabétique était respectivement de 27 % et 19 %. Une association significative a été observée entre la glycémie à jeun et l'adalimumab (β = 0,77, IC à 95 %, 0,32 à 1,21, P = 0,001), l'hydroxychloroquine (β = -11,19, IC à 95 %, -0,54 à -21,84, P = 0,04) et l'heure de réveil le week-end (β = -2,72, IC à 95 %, -5,26 à -0,17, P = 0,04). La prévalence du surpoids et de l'obésité était respectivement de 32 % et 39 % de l'IMC. La durée du sommeil en semaine (EDF = 1,37, p < 0,04) et le tabagisme (β = -0,17, p = 0,04) étaient associés à l'IMC. La prévalence de l'obésité abdominale était de 48 % et elle était associée à la durée du sommeil en semaine (EDF = 2,00, p < 0,005). Le sexe modifiait la relation entre la durée du sommeil et l'IMC/WC.

Conclusion : Chez les patients atteints de PR, l'adalimumab et le réveil tardif le week-end étaient des facteurs de risque de glycémie à jeun, tandis que l'hydroxychloroquine était protectrice. Chez les patientes, la durée du sommeil était associée à l'IMC et au tour de taille et le tabagisme était associé à l'IMC.

Avertissement: Ce résumé a été traduit à l'aide d'outils d'intelligence artificielle et n'a pas encore été examiné ni vérifié