Journal d'amélioration athlétique

Troubles du sommeil, troubles liés au sommeil, exposition à la danse et risque de blessure chez les danseurs universitaires

Jatin P. Ambegaonkar, Victoria Fauntroy, Amelia Stork, Rajwinder Deu, Holly Klee

OBJECTIF : Une participation sportive accrue affecte les troubles du sommeil (TS) chez les athlètes. Après des nuits avec TS, les danseurs professionnels ont noté des troubles du sommeil (TS) (c.-à-d. faible vitesse et concentration). On ne sait pas encore si les TS et les TS sont associés aux blessures et à l'exposition chez les danseurs universitaires. Ainsi, nous avons examiné (1) les relations entre les TS, les TS, les heures d'exposition à la danse (HEAD) et les blessures et (2) les différences de TS, de TS et de TS pendant les mois avec et sans blessure chez les danseurs universitaires sur une période de 7 mois.

MÉTHODES : Soixante-douze danseurs ont rempli les formulaires courts SD et SRI 8a du Patient Reported Outcomes Information System (PROMIS) au début de chaque mois (septembre 2019-mars 2020) décrivant leur SD et SRI au cours des 7 derniers jours du mois précédent (août 2019-février 2020). Un DEHr a été enregistré comme une heure de participation à la danse en cours, en répétition ou en représentation. Les blessures ont été définies comme toute condition pour laquelle le danseur a demandé des soins médicaux.

RÉSULTATS : Les danseurs ont participé à 467,8±45,7 DEHr/danseur, avec 14 danseurs souffrant de 18 blessures (IR = 0,53/1000-DEHr ; IC à 95 % : 0,29-0,78). L'écart-type et le SRI des danseurs étaient plus élevés que ceux de la population sportive universitaire (écart-type : t(71)=26,3, p<0,001 ; SRI : t(71)=2,60, p=0,01). L'écart-type de décembre était négativement lié aux DEHr d'octobre, janvier et février (tous : r=-0,30, intervalle : p=0,02-0,04). Les blessures de novembre étaient négativement liées aux écarts-types de septembre, octobre, décembre et janvier (intervalle : r=-0,30 à -0,04, intervalle : p=0,003-0,01). SD et SRI ne différaient pas entre les mois blessés et non blessés (SD : t(13)=0,12, p=0,91 ; SRI : t(13)=0,36, p=0,73 ; alors que DEHr était plus élevé pendant les mois blessés (t(13)=3,79, p=0,002).

CONCLUSIONS : Bien que les danseurs aient connu des troubles du sommeil et des troubles liés au sommeil, des relations incohérentes ont été observées entre l'écart-type, le SRI, la DEHr et les blessures chez les danseurs universitaires. Malgré les blessures, l'écart-type et le SRI des danseurs sont restés similaires pendant les mois avec et sans blessure, tandis que la DEHr était plus élevée pendant les mois avec blessure. Les futurs chercheurs devraient examiner les relations entre l'écart-type, le SRI et l'exposition à la danse sur des périodes plus longues pour clarifier si ces facteurs sont liés et si le sommeil affecte le risque de blessure chez les danseurs universitaires.

Avertissement: Ce résumé a été traduit à l'aide d'outils d'intelligence artificielle et n'a pas encore été examiné ni vérifié