Journal d'amélioration athlétique

Production et développement de puissance chez les jeunes athlètes : les effets de la charge d'entraînement

Kelton Mehls, Brandon Grubbs, Sandra Stevens, John Coons  et Ying Jin

Objectif : Cette étude visait à examiner les effets de la charge d’entraînement relative sur la puissance maximale et le taux de développement de la force chez les jeunes athlètes et à fournir des recommandations concernant les charges d’entraînement optimales.

Méthodes : Cette étude a utilisé un modèle de mesures répétées intra-sujets. Un capteur de position linéaire a été utilisé pour mesurer la puissance de pointe et le taux de développement de la force chez les jeunes athlètes effectuant le hang power clean à des charges d'entraînement relatives de 40 à 90 % de leur maximum de 1 répétition à des intervalles de 10 %.

Résultats : La charge relative a eu un effet significatif sur la puissance de pointe, F (2,196, 32,945) = 35,662, p < 0,001, η 2 = 0,54, où 80 % de 1RM ont produit la plus grande puissance de pointe (1 536,46 W) et était significativement supérieure à 30 %, 40 %, 50 % ( p < 0,001) et 60 % ( p = 0,004) de 1RM. De même, la charge relative a eu un effet significatif sur le taux de développement de la force dans les 300 premières ms, F (6, 90) = 8,425, p < 0,001, η 2 = 0,27, où 70 % de 1RM ont produit le taux de développement de la force le plus élevé dans les 300 premières ms (11 663,672 N·Sec -1 ), ce qui était significativement supérieur à 30 % ( p = 0,026) et 40 % ( p = 0,002) de 1RM.

Conclusions : Les entraîneurs de force et de conditionnement physique devraient utiliser ces informations pour prescrire des charges d’entraînement qui maximisent la puissance de pointe et le taux de développement de la force chez les jeunes athlètes. Pour la puissance de pointe, des charges comprises entre 70 et 90 % de 1RM semblent maximiser la puissance de pointe. Lors d’un entraînement visant à améliorer le taux de développement de la force, des charges comprises entre 50 et 90 % de 1RM semblent être optimales. Ces plages de charges démontrent qu’il n’existe pas de charge d’entraînement optimale pour maximiser ces variables, ce qui permet aux entraîneurs d’attribuer des charges d’entraînement en fonction de facteurs tels que le cycle d’entraînement, le niveau de compétence des athlètes et la gestion de la fatigue.

Avertissement: Ce résumé a été traduit à l'aide d'outils d'intelligence artificielle et n'a pas encore été examiné ni vérifié