Journal d'amélioration athlétique

Entraînement en direct à haute altitude et à basse altitude : intervenants et non-intervenants

Hamlin MJ, Manimmanakorn A, Creasy RH et Manimmanakorn N

Entraînement en direct à haute altitude et à basse altitude : intervenants et non-intervenants

Objectif : Étudier les différences entre les athlètes qui ont répondu (performance améliorée) et ceux qui n'ont pas répondu, après un camp d'entraînement en altitude de 20 jours « live high-train low » (LHTL). Méthodes : Dix triathlètes d'élite ont suivi 20 jours d'entraînement en altitude (1 545-1 650 m) et en altitude (300 m). Les athlètes ont subi (i) deux essais chronométrés de natation de 800 m au niveau de la mer (1 semaine avant et 1 semaine après le camp d'altitude) et (ii) deux tests de cyclisme sous-maximal standardisés de 10 minutes en altitude les jours 1 et 20 du camp d'altitude. Le mal aigu des montagnes (MAM) a également été mesuré pendant le camp. Sur la base de leurs performances au contre-la-montre de natation de 800 m, les athlètes ont été divisés en répondants (amélioration de 3,2 ± 2,2 %, moyenne ± ET, n = 6) et non-répondants (diminution de 1,8 ± 1,2 %, n = 4). Résultats : Comparés aux non-répondeurs, les répondants avaient des fréquences cardiaques à l'effort plus faibles (-6,3 ± 7,8 %, moyenne ± 90 % CL, et des saturations en oxygène plus élevées (1,2 ± 1,3 %) à la fin du test sous-maximal de 10 minutes après le camp. Comparés aux répondants, les non-répondeurs avaient des VE et VE/VO2 sensiblement plus élevés pendant le test sous-maximal du jour 1 du camp d'entraînement en altitude, et un RER sensiblement plus élevé pendant le test sous-maximal du jour 20 du camp. En raison de l'entraînement en altitude, l'économie d'exercice des non-répondeurs par rapport aux répondants s'est détériorée (c'est-à-dire que les non-répondeurs avaient besoin de plus d'oxygène par watt). Les non-répondeurs étaient 3,0 fois (90 % CL = 0,5-16,6) plus susceptibles de souffrir de symptômes du mal aigu des montagnes pendant les 5 premiers jours d'altitude par rapport aux répondants. Conclusion : Modifications de la SpO2, de la fréquence cardiaque et de certaines variables respiratoires pendant l'exercice et les scores AMS au repos peuvent aider à déterminer les athlètes qui répondent aux camps d'entraînement en altitude du LHTL des athlètes qui ne répondent pas à un tel entraînement.

Avertissement: Ce résumé a été traduit à l'aide d'outils d'intelligence artificielle et n'a pas encore été examiné ni vérifié