Del Vecchio L, Stanton R, Campbell Macgregor, Brendan Humphries, Nattai Borges
L'objectif de la présente étude était d'examiner l'effet d'un programme d'entraînement de force et de puissance de six semaines sur la puissance d'impact des coups chez des athlètes de combat amateurs de sexe masculin. Un échantillon de convenance de 16 athlètes de combat amateurs de sexe masculin ayant au moins deux ans d'expérience d'entraînement au combat a été assigné soit à un programme d'entraînement de force et de puissance (SPT, n = 10) soit à un groupe témoin (CT, n = 6). Les deux groupes ont effectué trois séances d'entraînement au combat hebdomadaires pendant six semaines. Le groupe SPT a effectué deux séances SPT de soixante minutes en plus de l'entraînement au combat habituel. Les variables suivantes : puissance d'impact moyenne du jab de la main principale, du cross de la main arrière, du coup de pied avant et du coup de pied circulaire, hauteur de saut vertical et demi-squat et développé couché maximum à cinq répétitions (5RM), ont été mesurées à l'aide de protocoles standard au départ et après six semaines. Français Les inférences basées sur l'ampleur (d (d) de Cohen ± 90 % IC) ont révélé des effets bénéfiques probables du SPT sur le coup de poing croisé (d = 0,69 ± 0,76), la puissance du coup de pied circulaire (d = 0,86 ± 0,83) et le saut vertical (d = 0,53 ± 0,66). Les avantages de l'entraînement au combat habituel n'étaient pas clairs pour tous les paramètres mesurés. Lorsque les changements entre les groupes au cours de la période de six semaines ont été comparés, le SPT a démontré des avantages probables pour le coup de poing croisé (d = 0,75 ± 0,80) et le demi-squat 5RM (d = 0,81 ± 0,78) par rapport à l'entraînement au combat habituel. Ces données suggèrent que l'ajout de SPT à l'entraînement au combat peut avoir un effet bénéfique sur la puissance d'impact du coup de poing croisé et la force du demi-squat 5RM chez les athlètes de combat amateurs de sexe masculin.