Journal d'amélioration athlétique

Effet de l'entraînement pliométrique sur les performances des jeunes athlètes en fonction de la corpulence corporelle et de la hauteur de chute

Samiha Amara, Bessem Mkaouer, Helmi Chaabène, Yassin Negra, Mehrez Hammami et Raja Bouguezzi

Effet de l'entraînement pliométrique sur les performances des jeunes athlètes en fonction de la corpulence corporelle et de la hauteur de chute

Contexte : L'entraînement pliométrique à court terme pourrait améliorer une large gamme de performances athlétiques chez les jeunes athlètes. Objectif : Examiner l'effet de trois protocoles d'entraînement pliométrique comprenant un saut en chute libre (DJ) à partir de 3 hauteurs différentes (c.-à-d. 30, 40 et 50 cm) en fonction de la corpulence corporelle de l'athlète. Méthodes : Trente-six jeunes athlètes (âge 15,41 ± 1,23 ans ; taille corporelle 169,5 ± 6,7 cm ; masse corporelle 54,1 ± 8,3 kg et indice de masse corporelle (IMC) 18,8 ± 2,1 kg/m²) ont participé à cette étude. Ils ont été divisés en trois groupes homogènes (12 athlètes dans chaque groupe : 6 ont un poids santé et 6 un poids insuffisant) classés sur la base de leur IMC. Français Le premier groupe a suivi un protocole d'entraînement DJ en dessous de 30 cm de taille (DJ30), le deuxième 40 cm (DJ40) et le troisième 50 cm (DJ50). Tous les groupes se sont entraînés pendant 8 semaines, à raison de deux séances par semaine. Résultats : L'entraînement pliométrique a eu un impact bénéfique sur la puissance explosive musculaire et les performances de saut pour tous les participants quelle que soit la hauteur de chute. Tous les paramètres étudiés dans le squat jump (SJ), le counter movement jump (CMJ) ont montré une augmentation significative (p<0,05). En considérant le drop jump (DJ), l'analyse des données a montré que les groupes DJ40 et DJ50 ont significativement amélioré leurs performances à l'exception du temps de contact au sol, qui reste presque constant. Cependant, le groupe DJ30 n'a pas amélioré ses performances en DJ. De plus, l'analyse inter-groupes n'a révélé aucune différence significative entre les trois groupes en ce qui concerne la hauteur de chute. L'analyse du delta-pourcentage en fonction de la corpulence corporelle a montré que les jeunes athlètes en sous-poids suivant DJ50 ont enregistré une meilleure amélioration des performances en hauteur CMJ et en puissance DJ par rapport aux groupes DJ40 et DJ30. Conclusions : Les principaux résultats de cette étude ont révélé que le programme d’entraînement pliométrique DJ40 et DJ50 pourrait améliorer les performances des athlètes de 15 à 16 ans en sous-poids.

Avertissement: Ce résumé a été traduit à l'aide d'outils d'intelligence artificielle et n'a pas encore été examiné ni vérifié