Journal des sciences vétérinaires et du diagnostic médical

Dynamique de transmission du virus de la maladie du vison des Aléoutiennes dans une ferme soumise à des tests et à un programme d'élimination

A Hossain Farid, Pirouz M Daftarian et Jalal Fatehi

Français Cent visons femelles noires naturellement infectées par le virus de la maladie du vison des Aléoutiennes (AMDV) ont été surveillées entre novembre 2005 et février 2008. Les animaux ont été testés pour les anticorps contre le virus par contre-immunoélectrophorèse (CIEP) et pour le niveau de globuline sérique par le test d'agglutination à l'iode (IAT) à neuf reprises. Les tests CIEP et IAT ont été effectués deux fois par an sur les lapereaux âgés de 4 et 7 mois. La prévalence des femelles adultes et des lapereaux positifs au CIEP était de 12 % et 20,9 % (n = 411) en 2006, respectivement, mais une femelle et aucun des lapereaux (n = 491) n'étaient séropositifs en 2007. Les cas positifs au IAT variaient entre 14,1 % et 80,7 % chez les adultes et entre 17,0 % et 57,6 % chez les chevreaux, ce qui suggère une infection par des agents pathogènes autres que l'AMDV. Trois des femelles séropositives ont éliminé le virus et ont été considérées comme résistantes, bien qu'elles aient continué à produire des anticorps jusqu'à ce qu'elles soient pelées à l'âge de 34 mois. Le schéma de transmission virale entre individus en contact les uns avec les autres était complexe. Le virus n'a pas été transmis de deux mâles infectés à cinq femelles séronégatives avec lesquelles ils se sont accouplés. En 2006, l'incidence de chatons positifs au CIEP issus de mères séropositives était significativement plus élevée (63,4 %) que celle des chatons issus de parents séronégatifs (16,8 %), ce qui montre une transmission transplacentaire du virus. Les huit descendants du seul mâle infecté en 2006 étaient tous positifs au CIEP et à la PCR, ce qui implique que le mâle a peut-être transmis un ou plusieurs gènes sensibles à sa progéniture. Les estimations de l'héritabilité des chatons positifs au CIEP à 4 et 7 mois étaient respectivement de 0,573 et 0,497, ce qui suggère la forte contribution de la génétique de l'hôte à ce trait. Il a été conclu que la résistance à l'infection jouait un rôle plus important que le taux de survie des individus infectés sur l'état de santé du troupeau. Les mesures de reproduction n'étaient pas affectées par les scores IAT des mères.

Avertissement: Ce résumé a été traduit à l'aide d'outils d'intelligence artificielle et n'a pas encore été examiné ni vérifié