Aseel K Hussein, Martin Sullivan et Jacques Penderis
Les caractéristiques anatomiques du palais mou ont un impact sur le système respiratoire supérieur canin. L'objectif de cette étude était de déterminer si les paramètres du palais mou peuvent prédire d'éventuels défauts à l'aide de la technique d'IRM in vivo. L'étude a porté sur 55 chiens appartenant à des propriétaires de différentes races, ne présentant aucun signe respiratoire, répartis en races brachycéphales (20) et non brachycéphales (34).