Journal sur la santé, les problèmes et les soins des femmes

Utilisation de méthodes contraceptives réversibles à action prolongée et facteurs associés chez les femmes en âge de procréer à Mizan – Aman Town, zone de Bench Maji, sud-ouest de l'Éthiopie

Asrat Meleko, Samrawit Sileshi, Yordanos Bekele, Abeba Daniel, Alebachew Getawey, Dawit Amare et Moges Segede

Contexte : La planification familiale est considérée comme l'un des succès majeurs du XXe siècle et est d'une importance cruciale pour améliorer la santé publique. L'accès aux services de planification familiale contribue à améliorer les résultats en matière de santé pour différentes populations. Mais jusqu'à présent, à l'échelle mondiale, la prévalence de l'utilisation de contraceptifs réversibles à action prolongée n'est que de 13 %, elle est faible en Afrique subsaharienne (2 %). En Éthiopie, la méthode contraceptive moderne la plus populaire pour toutes les femmes est l'injection (21 %).

Objectif : Cette étude visait à évaluer l’utilisation d’une méthode contraceptive réversible à action prolongée et ses facteurs associés chez les femmes en âge de procréer.

Méthodes et matériel : Une étude transversale communautaire a été menée auprès de femmes en âge de procréer de mai à juin 2017. Une technique d'échantillonnage aléatoire systématique a été utilisée pour sélectionner l'unité d'échantillonnage. Un questionnaire pré-testé et structuré a été utilisé pour collecter les données. Une analyse des données bivariées et multivariées a été réalisée à l'aide du logiciel STATA version 14 pour évaluer l'association statistique.

Français : Résultat : Actuellement, la majorité, 74,8 %, des participantes à l'étude utilisaient des contraceptions non LARCM, dont 137 injectables (52,3 %) et 59 pilules (22,5 %). Les autres groupes qui ont utilisé des contraceptions LARCM comprennent les implants (55 % (20,9 %)) et les 11 autres (4,2 %) qui utilisaient un DIU avec une magnitude globale de 66 (25,2 %). Les informations sur les contraceptions LARCM [AOR 6,9 (IC à 95 % : 1,7, 27,0)] et le passage d'un contraceptif à un autre [AOR 2,5 (IC à 95 % : 1,2, 5,2)] sont restées statistiquement significatives avec l'utilisation actuelle de LARC dans la régression logistique multivariée. Parmi les participantes qui avaient entendu parler des contraceptions LARCM (n = 232), 106 (45,7 %) des participantes avaient une attitude positive à l'égard des contraceptions LARCM.

Conclusion : Le niveau d'utilisation actuelle des contraceptifs oraux contraceptifs ambulatoires (LARCM) chez les femmes en âge de procréer étudiées dans cette région était relativement faible. Un nombre nettement plus élevé de femmes en âge de procréer n'avaient toujours pas d'attitude positive à l'égard des LARCM. Le fait d'avoir entendu parler des LARCM et de passer d'un contraceptif à un autre était associé à l'utilisation actuelle des LARCM. Il est donc impératif de renforcer l'éducation de routine et le suivi des LARCM via différentes stratégies pour obtenir un changement d'attitude. 

Avertissement: Ce résumé a été traduit à l'aide d'outils d'intelligence artificielle et n'a pas encore été examiné ni vérifié