Alpesh Desai, Vansh Pandya, Indrajit Mukhopadhyay et Abhijit Ray
Cet article traite de l'effet des pertes dues à l'augmentation de la température sur la détermination de la capacité optimale du câble CC pour une application de système solaire photovoltaïque (PV). Une optimisation est envisagée pour résoudre le compromis existant entre le coût des pertes dues à la chute de tension et son coût d'investissement. Le principal résultat du modèle est la capacité optimale du câble CC pour un système PV donné, ainsi que le dimensionnement optimal du câble CC par rapport à la chute de tension. Un résultat expérimental d'un système solaire PV de 250 kW installé à une latitude de 23,0290 N et une longitude de 72,5770 E est utilisé pour déterminer l'effet de l'augmentation de la température sur la chute de tension du câble CC dans des conditions extérieures. Cet article présente un modèle empirique pour déterminer l'effet de la chute de tension par la température à travers des données expérimentales. Dans ce travail, l'accent est mis sur l'effet de la température sur le câble CC et sa solution vers la garantie de performance ainsi que l'amélioration des prévisions de production. Cette étude est menée pour trouver une prédiction de tension CC sur site avec une erreur minimale et fournit une prédiction basée sur une formule empirique. Les résultats du modèle révèlent qu'en installant le câble CC dans des conditions extérieures de zones semi-arides comme le Gujarat et d'autres régions arides, où la température ambiante moyenne est d'environ 30◦C-35◦C et en été, la température maximale est supérieure à 40◦C, il y a une augmentation de la chute de tension d'environ 12 à 18 % par rapport aux conditions de test standard. En choisissant la taille de câble appropriée, nous pouvons économiser 2400 kWh à 5400 kWh par an, ce qui réduit chaque année de 1200 kg à 3000 kg de CO2 et de 300 kg à 700 kg de charbon. Avec une conception optimale du câble CC, nous pouvons réduire la perte de câble en dessous de 1 %, ce qui est à égalité et génère 1,8 à 2,4 fois plus de revenus.