Francisco Torrens et Gloria Castellano
Polarisabilité élémentaire des agrégats Sc/Fullerène/Graphène et interactions Di/Graphène–Cation
La polarisation des dipôles induits en interaction dans le code POLAR permet la polarisabilité moléculaire, qui est testée avec des clusters Sc n /C n [ fullerène/graphène (GR)]/Sc n @C m . La polarisabilité voit des clusters de tailles différentes, se séparer des isomères. La limite de volume est estimée à partir de la relation Clausius–Mossotti. Les clusters sont plus polarisables que le volume. La théorie a donné ceci pour les petits Si n /Ge n /Ga n As m ; cependant, l'expérience, inversement pour les plus grands Si n /Ga n As m /Ge n Te m . Les clusters plus petits n'ont pas besoin d'agir comme le milieu : les liaisons pendantes de surface provoquent une polarisabilité des petits clusters qui ressemble à celle du métal. Le code AMYR modélise GR(2)– M z+ . Un plan de 24 atomes modélise GR. M z + est placé sur le sommet (T)/pont (B)/creux (H) de GR. La stabilité GR–Mz+ décroît : H>E>T . De H à T , la stabilité chute de 75 %, 16 %, 14 %, 35 %, 19 % et 31 % pour Li + /Na + / K + /M + moyenne/Ca 2+ /moyenne. Dans GR2–M z+ de H à B à T , la stabilité diminue de 4 %/1 %. Les chutes sont plus petites que GR–Mz+. La dispersion diffère moins que GR–M z+ . GR est plus sensible que GR 2 à Mz + , M +/2+ permute et site.