Journal de génie électrique et de technologie électronique

Méthode de prévention des rechutes précoces et tardives du cancer du sein ; collaboration possible avec Sensors

  Michel Retsky  

Mes collègues et moi-même avons été confrontés en 1993 à un schéma de rechute bimodal inattendu dans le cancer du sein. Les données ont montré que chez les patients traités uniquement par chirurgie, 50 à 80 % de toutes les rechutes se produisaient lors d'une vague précoce et brutale au cours des trois premières années suivant l'opération. Nous avons finalement déterminé que la chirurgie visant à retirer une tumeur primaire provoque une inflammation systémique pendant une semaine. Pendant ce temps, des cellules malignes isolées dormantes et des dépôts avasculaires s'échappent de leur dormance et apparaissent sous forme de rechutes dans les trois ans. Les auteurs multinationaux de nos rapports comprennent des oncologues médicaux, des chirurgiens, des anesthésistes, des physiciens et d'autres scientifiques. Une solution semble exister sur la base de notre analyse. Ce traitement est l'analgésique anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS) kétorolac administré en intraveineuse au moment de l'opération et peut-être par voie orale pendant quelques jours après l'opération. Trois modèles animaux et deux essais cliniques rétrospectifs soutiennent nos conclusions. Tous ont été rapportés dans une revue récente. 

Il a été récemment rapporté qu'un essai prospectif d'un autre AINS périopératoire est prévu au Japon pour traiter le cancer du poumon (Sakamaki K, Watanabe K, Woo T, et al. Étude multicentrique randomisée de phase II sur l'administration périopératoire de flurbiprofène axétil chez les patients atteints de cancer du poumon non à petites cellules : protocole d'étude de l'étude FLAX. BMJ Open 2020;10:e040969. doi:10.1136/bmjopen-2020-0409692).

Un autre article suggère un moyen de prévenir au moins certaines rechutes tardives. Il existe deux situations dans lesquelles les rechutes tardives peuvent être évitées. La première est une intervention chirurgicale planifiée pour des raisons esthétiques ou de santé. Dans ce cas, le chirurgien peut s'assurer que le patient reçoit le médicament anti-inflammatoire approprié juste avant l'opération. L'autre situation concerne les événements imprévus, comme après une blessure soudaine due à une chute ou à un accident de voiture. Dans ce cas, il serait important de connaître le niveau actuel d'inflammation systémique et les antécédents médicaux du patient afin de pouvoir utiliser un anti-inflammatoire approprié. Le timing est essentiel car il faudrait traiter dans les deux heures environ. Une méthode permettant de déterminer le niveau d'inflammation systémique est nécessaire sans prise de sang. Peut-être que quelqu'un de Sensors peut vous aider.

Avertissement: Ce résumé a été traduit à l'aide d'outils d'intelligence artificielle et n'a pas encore été examiné ni vérifié