Géoinformatique et géostatistique : un aperçu

Qualité biologique des eaux des puits creusés à Kumba-Cameroun : évaluation SIG et variation saisonnière d'un indicateur de pollution

Akoachere Richard Ayuk et Ngwese Yolande Mesode

Kumba (latitudes : 4°36‟- 4°40‟, longitudes : 9°23‟- 9°29‟), la capitale économique de la région du Sud-Ouest - Cameroun, est située le long de la ligne du Cameroun à l'extrémité nord-ouest du bassin de Douala. L'eau des puits creusés est la principale source d'eau à Kumba. La consommation d'eau contaminée par des excréments humains et animaux constitue le plus grand risque pour la santé publique en raison des microbes qui causent des maladies d'origine hydrique et qui ont la capacité de provoquer des infections simultanées sur un grand nombre de personnes. L'eau potable est nécessaire au développement de tout pays. Des tests sur le terrain pour les paramètres physiques dans dix puits creusés ont été effectués pour ; les solides totaux dissous, la conductivité électrique, le pH, la profondeur des niveaux d'eau mesurés et quarante (dix par saison hydrogéologique) échantillons d'eau collectés. Les coliformes dans quarante échantillons d'eau de puits ont été dénombrés par des tests de laboratoire présomptifs pour évaluer la qualité biologique de l'eau. Les résultats des tests saisonniers sur le terrain et en laboratoire ont été montés sur des plateformes SIG et les variations spatiales déterminées. Français Le nombre « le plus probable » de coliformes par 100 ml dans tous les échantillons d'eau de puits creusés est bien supérieur aux normes de l'OMS pour l'eau potable. 10 à 20 % des puits ne conviennent qu'au contact primaire et 80 à 90 % sont gravement pollués par des micro-organismes potentiellement nocifs, la pollution étant relativement plus importante pendant les saisons humides que pendant les saisons sèches. Cela est probablement dû à : a) Les saisons humides : Niveaux d'eau peu profonds, mauvaise construction des puits, lixiviats de décharges, fosses septiques, parcs d'engraissement des animaux, ruisseaux contaminés et ruissellement de surface dans les puits. b) Les saisons sèches : Stress et pénurie d'eau entraînant une augmentation de la fréquence et du nombre d'utilisateurs de captages de puits non secs et une augmentation des mauvaises conditions sanitaires (ustensiles de captage sales) dans et autour des puits.

Avertissement: Ce résumé a été traduit à l'aide d'outils d'intelligence artificielle et n'a pas encore été examiné ni vérifié