Ali Rastqar*, Niraj Patel et Zahra Ghasemzadeh
La schizophrénie comprend un large éventail de troubles mentaux qui entraînent des handicaps sociaux et professionnels et peuvent conduire à des comportements inappropriés. La mélatonine n'a pas été largement étudiée chez les patients schizophrènes. Cependant, les chercheurs ont essayé de concevoir le médicament pour traiter, prévenir la progression de la maladie, ou au moins minimiser ses conséquences physiques et mentales. Les efforts pour trouver de nouvelles approches ou de nouveaux médicaments ainsi que des substances endogènes, qui peuvent améliorer la maladie ou même influencer son étiologie, seront un succès exceptionnel. Récemment, il a été prouvé que la mélatonine (une neurohormone endogène) peut jouer un rôle important sous diverses formes, en prévenant l'apparition de la maladie ou en réduisant la gravité des effets secondaires des médicaments. Cette revue vise à mettre en évidence les effets potentiels de la mélatonine sur de multiples aspects de la schizophrénie.