Journal du foie : maladies et transplantation

Dilemme de la lésion de reperfusion par ischémie hépatique après transplantation hépatique

Mohamed Ismail Seleem, Ahmed Elewa

La transplantation hépatique, qu'elle provienne d'un donneur décédé ou vivant (LDLT), reste une ligne de traitement sûre pour la cirrhose décompensée, le stade précoce du carcinome hépatocellulaire et l'insuffisance hépatique aiguë. Les organes provenant de donneurs vivants offrent de nombreux avantages potentiels par rapport aux organes provenant de donneurs décédés ; le plus important est l'optimisation du moment de la transplantation. De plus, le temps de conservation est minimal, ce qui réduit considérablement les dommages ischémiques. Les biopsies à temps zéro prélevées après la revascularisation du greffon prédisent des résultats cliniques défavorables après une transplantation hépatique. Il est bien connu qu'une lésion d'ischémie/reperfusion (IRI) grave signale la nécessité probable d'une retransplantation précoce. Ce fait souligne l'importance de la biopsie à temps zéro prélevée immédiatement après la reperfusion du greffon. La lésion d'ischémie-reperfusion hépatique après transplantation hépatique est une complication courante et majeure après une chirurgie et une transplantation hépatiques. Elle altère la fonction hépatique, augmente la morbidité et la mortalité postopératoires, interfère avec la récupération et a donc un impact majeur sur les résultats cliniques.

Avertissement: Ce résumé a été traduit à l'aide d'outils d'intelligence artificielle et n'a pas encore été examiné ni vérifié