Manish Kumar Asthana* et Sanjib Bhattacharyya
Les troubles anxieux sont devenus une pandémie silencieuse dans le monde entier, avec un taux d'incidence croissant alarmant dans le mode de vie moderne. Par conséquent, un besoin ardent d'une nouvelle perspective sur la biologie des troubles anxieux est devenu essentiel. Sur la base de recherches antérieures, des changements dans les réponses physiologiques ont été suggérés comme une nouvelle approche pour identifier et comme indicateur de dysfonctionnement cérébral dans les troubles anxieux. Plusieurs chercheurs ont tenté de souligner que les réponses physiologiques telles que la réponse électrodermique (EDA), la variabilité de la fréquence cardiaque (HRV), le sursaut, etc. peuvent être influencées par les troubles anxieux. Cette revue résume l'idée selon laquelle les réponses physiologiques devraient être considérées comme une mesure précoce des troubles anxieux, proposant ainsi une possibilité de s'attaquer aux troubles anxieux